Madagascar
Située au large des côtes du Mozambique et à 11 heures de Paris, «L’île continent », tel est le surnom le plus répandu pour désigner Madagascar, qui est connue pour son relief, ses différents climats et son mélange culturel important.
D’une superficie de 590 000 km², soit l’équivalent de la France et de la Belgique réunies, l’île est constituée d'une chaîne de montagnes centrale avec de nombreux plateaux d’origine volcanique, qui culmine au nord à plus de 2800 mètres au mont Maromokotro.
La taille de Madagascar est telle que l’on peut y distinguer 4 types de climats : Tropical Humide à l’est, tropical d’altitude dans les hautes terres centrales, Tropical sec dans les plateaux de l’ouest et enfin semi-aride au Sud. La variété des climats est très importante, puisqu’au sein d’un même pays, on peut retrouver de la neige (sur certains sommets) et des cyclones sur la côte Est.
La population de l'île est estimée à 14 millions d’habitants, elle est très inégalement répartie (de 5 à 100 hab/m²), principalement rurale (75%) et jeune (50% de la population a moins de 15 ans). Le territoire est réparti en 6 provinces autonomes,
subdivisées en régions et communes.
Contrairement à l’image que l’on peut avoir de ce pays, Madagascar présente de nombreuses potentialités non exploitées, à l’image de ses ressources naturelles (eau, cheptel bovin, espaces cultivables, minerais industriels ou pierres précieuses et semi-précieuses) de ses ressources marines ou de ses attraits touristiques. L’un des aspects particuliers de Madagascar réside ainsi dans la grande richesse de sa faune et de sa flore, du fait de la multiplicité de ses climats : c’est l’un des pays au monde qui réunit la plus grande variété d’espèces, tant au niveau végétal qu’animal.
D’une superficie de 590 000 km², soit l’équivalent de la France et de la Belgique réunies, l’île est constituée d'une chaîne de montagnes centrale avec de nombreux plateaux d’origine volcanique, qui culmine au nord à plus de 2800 mètres au mont Maromokotro.
La taille de Madagascar est telle que l’on peut y distinguer 4 types de climats : Tropical Humide à l’est, tropical d’altitude dans les hautes terres centrales, Tropical sec dans les plateaux de l’ouest et enfin semi-aride au Sud. La variété des climats est très importante, puisqu’au sein d’un même pays, on peut retrouver de la neige (sur certains sommets) et des cyclones sur la côte Est.
La population de l'île est estimée à 14 millions d’habitants, elle est très inégalement répartie (de 5 à 100 hab/m²), principalement rurale (75%) et jeune (50% de la population a moins de 15 ans). Le territoire est réparti en 6 provinces autonomes,
subdivisées en régions et communes.
Contrairement à l’image que l’on peut avoir de ce pays, Madagascar présente de nombreuses potentialités non exploitées, à l’image de ses ressources naturelles (eau, cheptel bovin, espaces cultivables, minerais industriels ou pierres précieuses et semi-précieuses) de ses ressources marines ou de ses attraits touristiques. L’un des aspects particuliers de Madagascar réside ainsi dans la grande richesse de sa faune et de sa flore, du fait de la multiplicité de ses climats : c’est l’un des pays au monde qui réunit la plus grande variété d’espèces, tant au niveau végétal qu’animal.
Ce qui doit changer !
Madagascar vit une situation de crise chronique. En effet, l'île figure parmi les pays les plus pauvres du monde : 67% de la population malgache vit en dessous du seuil de pauvreté. C’est aux abords de la capitale et de ses banlieues, que les conséquences de ces situations de misère sont les plus alarmantes. Pour y remédier, les populations ont de plus en plus tendance à migrer jusqu’aux grandes villes mais s’y installent alors dans des conditions d’hygiène déplorables. Malheureusement, il est inévitable que les enfants soient les premières victimes.
Le système éducatif représente également un problème majeur du pays. L'absence d’investissement dans le secteur de l’éducation durant les 20 dernières années ainsi que les catastrophes naturelles à répétition (inondations, cyclones...) qui touchent les écoles en zone rurale en sont les principaux responsables. Cela s'exprime par des classes de 50 élèves en moyenne, une insuffisance de personnel et des infrastructures scolaires misérables. A raison de sept enfants par banc, il est difficile pour les enfants d’être à l’aise et de travailler dans de bonnes conditions.
Toutefois, en 2011 on comptait un taux d’alphabétisation de 64% et un taux de scolarisation de 76%. De plus en plus d’enfants sont scolarisés notamment grâce à l’aide du gouvernement mais ces efforts sont à soutenir pour que les écoliers bénéficient d’infrastructures de qualité.
Cependant entre 2010 et 2011, une perte de plus de 600 000 inscriptions d'enfants dans le système primaire est apparue, selon une étude de la banque mondiale. Le phénomène est donc toujours d'actualité et les efforts doivent continuer. C'est pour cela que notre association a choisi d’apporter sa contribution à l’amélioration de l’éducation dans la région d’Antananarivo.
Le système éducatif représente également un problème majeur du pays. L'absence d’investissement dans le secteur de l’éducation durant les 20 dernières années ainsi que les catastrophes naturelles à répétition (inondations, cyclones...) qui touchent les écoles en zone rurale en sont les principaux responsables. Cela s'exprime par des classes de 50 élèves en moyenne, une insuffisance de personnel et des infrastructures scolaires misérables. A raison de sept enfants par banc, il est difficile pour les enfants d’être à l’aise et de travailler dans de bonnes conditions.
Toutefois, en 2011 on comptait un taux d’alphabétisation de 64% et un taux de scolarisation de 76%. De plus en plus d’enfants sont scolarisés notamment grâce à l’aide du gouvernement mais ces efforts sont à soutenir pour que les écoliers bénéficient d’infrastructures de qualité.
Cependant entre 2010 et 2011, une perte de plus de 600 000 inscriptions d'enfants dans le système primaire est apparue, selon une étude de la banque mondiale. Le phénomène est donc toujours d'actualité et les efforts doivent continuer. C'est pour cela que notre association a choisi d’apporter sa contribution à l’amélioration de l’éducation dans la région d’Antananarivo.